Boris Charmatz se lance dans un projet aussi fou que fascinant : une « forêt chorégraphique » où aucun geste ne se répète jamais.
Une danse sur la musique du « Requiem » de Mozart pour célébrer l’éphémère et dans laquelle aucun danseur n’exécutera la même séquence que le voisin, ne façonnera le même mouvement.
Dix mille gestes (et sûrement quelques milliers de plus) qui se déploient devant nous à la vitesse de l’éclair pendant une heure, aussitôt exécutés aussitôt jetés, une danse où on ne s’interdit pas de chanter, de crier même...
Une performance qui ne laisse pas indifférent !